Sinyorël, la Nouvelle Aube
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L'histoire d'une belle histoire

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L'histoire d'une belle histoire Empty L'histoire d'une belle histoire

Message par Caliawen Lun 29 Aoû 2016 - 15:25

Nous sommes arrivés au lieu. Je salut ma mère comme si il ne s'était rien passé, elle m'a regardée dans les yeux d'une façon méprisante. Et j'avais déjà envie de lui crier dessus, quelle façon d'accueillir sa fille.


"- Et qui c'est lui. Demanda-t-elle en montrant Alexander derrière moi.


- Moi aussi maman je suis très heureuse de te revoir. Il s'appelle Alexander et c'est une crème. J'ai répondue."


Elle le salua aussi avant de retourner dans la cuisine sans rien dire. Je sentais le malaise d'Alexander. Dans tous les cas c'est ce qu'il reflétait. Comme si des ondes négatives, bleues foncé sortait de sa personne. 


"- Ne fais pas attention, vient suis moi.


-Oui oui. Répondis Alexander." 


Quand je parle de mes problèmes je ne regarde pas la personne. Je regarde dans le vide. C'est étrange mais je crois que ça m'aide.


On s'est installés en silence puis je lui ais proposée de sortir prendre un café. Il m'a répondue a sa façon qu'il était ravi. avec ces petites mimiques. Nerveux, il aimait faire des vagues avec ses doigt sur ses jambes. Ou encore se grignoter les ongles ou se caresser les bras; Comme s'il avait froid. 


On est arrivé dans un café très "Dandy". Et forcément on se sentait comme chez nous. Pendant que l'ont discutaillez la décoration magnifique un serveur s'approcha vers nous. Cravate en bataille et petite chemise blanche ouverte il s'est présenté. 


"-Bienvenue au café du puis ! Vous êtes du coin ? Demanda l'inconnue.


- Non je suis ici pour une enquête, Caliawen Enchantée. J'ai dit lorsque qu'il me tendit la mains pour me la serrer. 


- Et moi c'est Alexander, et pas Alexandre ! Dit-il en ricanant gentiment. 


- J'imagine que c'est mon tour alors ! Franklin pour vous servir ! Que désirez vous ?"


J'ai échangé un regard explicite avec mon conjoint. Intrigué par ce personnage follement extraverti. Il nous avait remis le sourire au lèvre et m'avait fais redevenir sereine. On as commandé et il est partit.


J'ai mis ma mains sur celle de Alexander en le caressant légèrement.


"- Tout va bien ce passer. Je lui promis.


- J'en suis sur. Dit Alexander, Je vais t'aider, on va avancer tu va voir. "


Je mis ma tête sur son épaule. Et Franklin déboula. S'assit près de nous et déposa son plateau; Sur lequel reposait nos cafés. 


"- Ça fait combien de temps vous deux ? demanda Franklin l'air mesquin."


Nous avons tous les deux un peu bafouillés pour lui dire qu'on n'était pas ensemble. Franklin semblait très intime mais d'une façon très gentil. On aurais pus se dire qu'il n'aurais jamais pu avoir de mauvaises intentions. Ou d'idées mal placé. Il s'est assis à côté de nous et nous avons discutés. Ces gesticulation presque forcés étaient très amusante. Et ces petits sous entendus aussi. 


Il nous as même raconté qu'il avait flashé sur une de ses cliente régulière. Il nous la décrivait comme un ange, de long cheveux blonds ondulés, tombant en cascade sur son dos. Et sa peau apparement douce comme du lin. Sa bouche en cœur et ces beaux yeux vert. Je mourrais d'envie de la voir. Il nous donnait alors rendez vous a 14 heures demain pour la voir prendre le thé. 


Nous avons alors promis d'être là. Suite à ça nous sommes partis pour retourner à la maison. 


Moi et Alexander avons eu une discussion un peu à tâtons. Alexander trouvait mal ses mots mais j'ai bien compris son ressentit. Comme quoi il n'avait jamais eu une relation comme la nôtre auparavant et qu'il ne savait pas trop quoi penser. Il m'avais décrit maladroitement comme une sœur qui manquait à sa vie. Il me remerciait un million de fois pour l'aide que je lui avait apporté. J'avais dis que moi non plus je n'avais jamais eue une tel relation et que c'était très rassurant. Et que ça me confortait dans l'idée assez précisé que je me faisait des sentiments. Et de ce que peut éprouver un homme en général. 


"- Avec toi il n'y a pas de gêne ou de malaise.. J'ose et ça me fait grandir. Dit-il."


A vrai dire ça me faisait plaisir de me dire que ça marchais dans les deux sens. Il était apparu un peu comme un sauveur. Comme si c'était le pansement de toutes mes blessures. Et que sans lui je sais pas si j'avais réussis à remonter la pente. Et que si ça avais empiré j'aurais trouvé un moyen d'en finir bien radical. 


J'ai ouvert la porte, quand j'entendis de loin ma mère converser avec quelqu'un. Par toute politesse je me suis dirigée vers la cuisine. 


Mon cœur fit un bond quand j'aperçut ma bête noir. Qui était aussi le bête de mes tout mes désir. Celui qui domptait mon cœur. Son profil toujours aussi magnifique, ses boucles d'ors.. Son sourire angélique. Ces yeux bleus, et ses doigts si fins pianotant sur la table. Mes mains se plaquèrent sur ma bouche. Et les larmes encore une fois coulèrent sur mes joues. Sans pouvoir les arrêter. Il accouru vers moi et me serra fort contre lui. Ma mère sortit de la pièce pour nous laisser seuls. 


"- On peux sortir ? Demanda-t-il." 


je répondis par un hochement de tête. On a marchés jusqu'à la porte, en tête je ne faisait pas de bruit. j'essayais de sécher mes larmes. Mais mon cœur n'était pas remis.. Il continuait de battre très fort contre moi. Je prenait de longues respiration pour diminuer mon risque cardiaque. Qui aurait pu laisser croire que mon cœur allait exploser. 


Face à face il m'approcha de lui. Les bras ballant j'ai sentis sa tête se reposer sur la mienne. 


"- Caliawen.. Je suis vraiment très amoureux de toi. J'aimerais qu'on se donne l'éternité pour être ensemble. J'ai compris que la flamme même si elle diminuait parfois, finissait toujours par se rallumer. Et y a un torrent de flamme dans mon corps. Qui me cri tous les jours.. tous les jour de te voir. Je veux pas finir seul. Dans le noir.. mais si tu me laisse, je ne serrais plus. Je perdrait tous. J'ai passé ces jours dans le noir, j'allume une allumette chaque jour pour voir mon état s'empirer dans le miroir. Mes cernes s'assombrir et se creuser.. jour après jour. Tu.. Tu sait quand on pleure vraiment beaucoup, des torrent, tes joues deviennent violettes. Ton sourire disparaît et tes cheveux deviennent grisonnant. Et bien c'est la même choses quand on ne dors pas et qu'on vit la nuit. Mais qu'est-ce que j'ai peur que tu m'ai remplacé mon ange. J'ai peur de rentrer et de mourrir chaque jour un peu plus.. Je veux t'emmener voyager, si tu veux.. Je veux tout avec toi mon amour. Et puis je sais pas quoi tu dire moi.. C'est juste que j'ai une douleur dans la poitrine et.. et elle veux pas partir. Comme si elle m'avait obligée de venir te rechercher. Comme si on m'enfonçait un millions d'épines en même temps sur le torse. Que je devait contrôler mon souffle et faire attention, faire attention à vraiment tous. Je sais pas vraiment pourquoi j'ai fait ça.. c'est la deuxième fois et putain j'ai pas retenu la leçon.. Je m'exprime comme si tu m'aimais et que je m'en voulait mais.. j'en sait rien moi, je suis foutrement perdu."


Que dire. Que choisir, des mots qui me viennent. Comment pourrais-je répliquer à l'homme qui me battit. A cette tirade miraculeuse.. que j'aurais voulue enregistrer pour l'écouter en boucle jusqu'à la fin de mes jours. 


"- C'est fou, l'amour c'est exactement comme je le pensait. L'amour ça amplifie tous, les émotions surtout. Et ça fait vibrer, et trembler aussi, surtout. Et puis j'ai rien a dire parce que moi aussi j'ai envie d'être avec toi.. mais ce que tu m'a rendue triste.
J'ai répondue.


- Moi aussi, mais c'est surtout à cause de moi.. De toute façon tous ce qui vaut le coup peut faire mal. J'ai une grande chance d'avoir trouvé l'amour. 


Nous avons ensuite échangés un baiser des plus beaux, des plus fabuleux. C'était aussi tendre qu'une caresse, c'était aussi beau que le sentiment qu'on entretenait l'un pour l'autre. Plus fou que la folie elle même. Et plus dingue que des soldes de -95%... Si je le jure, encore plus.


"- Mon amour, j'ai peur d'avoir peur de nous. J'ai dit.


- Dit toi alors que la peur de la peur elle même fait encore plus mal que celle qui suivra.


- Je t'aime, d'une façon très sauvage.


- Ça reste de l'amour. Je t'aime aussi mon cœur. Il est tout à toi."


Un sentiment de joie poussé à l'extrême régnais en moi. J'étais si heureuse de sentir sa main dans la mienne, le vent dans mes cheveux. Son magnifique regards flottant au loin. Ses yeux clairs qui semblait refléter tout ses sentiment. 


Et son sourire gêné quand il me regardait dans les yeux et qu'il détournait le regards. Je me blottissait contre le lui. Je ressentait comme une guérison lorsqu'il était près de moi. 


"- Ewen ? J'ai demandée.


- Caliawen, ma très chère ? 


- Tu es vraiment magnifique." 


Il sourit et regarda le ciel. 


"- Tu es une sacré toi, je vais pleurer."


Nous nous sommes pris dans les bras en tournant légèrement. J'ai soulignée que jamais je ne lui avais fait de compliment sur son physique. Pourtant ravageur. 


On s'est arrêté au pas de la porte.
Je l'ai prévenu.
Alexander.
Il compris. 

Caliawen

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Message par Caliawen Mar 13 Sep 2016 - 19:58

Nous sommes rentrés et j'ai présenté Ewen à Alexander. Il avait l'air un peu triste et un peu énervée, je ne sais pas si c'est parce que je l'ai encore laissé. 


Aussitôt présenté j'ai entendue quelqu'un frapper à la porte. Ma mère n'avait pas entendue, elle était sûrement dans le jardin.


J'ai laissée les deux hommes ensemble sans penser aux tensions possibles. Puis, comme une bourrasque je courrais jusqu'à la porte. 


Je n'ai pas eue le temps de dire bonjour aux deux nouvelles venues qu'elles était déjà dans mes bras, Oursa et Eliane. Mes deux chères sœurs. 


Oursa ou "Ursa" avais maintenant neuf ans et vivait avec ma grande sœur Eliane. Ursa était grande, avec de longs cheveux bruns, des lunettes et un style plutôt particulier. Elle avait un million de vêtement flashy ou troué ou pas mal vieux et démodé. Elle avait récupérer tout les habits de mes parents et elle avait l'air d'apprécier. Ursa comptait briller dans la magie sphinx, et je lui souhaitait du plus profond de mon cœur.


Eliane ou "Cactus" était l'aînée. Elle n'était ni sage ni sérieuse et faisait la bringue tout les jour avec ses amis.Pourtant son apparence ne laisserais pas croire une telle chose. Ces vêtements toujours niquel laissait penser à une petite intellectuelle plutôt mignon. Elle était fine et plutôt moyenne de taille. Ces cheveux a la limite du roux. Et je peux promettre que c'était la plus belle des rousses. Peut être la trouvais-je elle car c'était ma sœur. Ma sœur, comme moi était détective et mancienne. 


Nous nous sommes rapidement racontés notre vie puis nous sommes montés. Les filles sautes au cou de Ewen. Forcément ça fait assez longtemps entre nous alors ma famille l'adore. On s'est tous assis.


J'observais les gens qui m'entourais pendant un moment de calme. Des gens que je n'aurais jamais imaginés ensemble. Une petite excentrique, une rousse assez perdue, un grand gars paumé, la lumière de mes jours. Et moi, l'excitée du bocal. Je me suis dis qu'on verrais une bonne équipe. Puis j'ai regardé la triste mine d'Alexander et finalement je n'en pensait rien. 


"- Bon écoute, ma toute petite Hector, je prends en charge l'enquête, ne t'en fait pas, rentre chez toi [url=x-apple-data-detectors://0]ce soir[/url]. Dit la rousse.


- Quoi [url=x-apple-data-detectors://1]ce soir[/url] ? mais je n'ai même pas passée une nuit ici ! et puis euh moi je veux la faire cette enquête. J'ai répondue."


Puis j'ai précisée à Alexander que Hector c'était mon petit nom au sein de la famille.


"- Bon Hector, c'est trop tard j'ai finis l'enquête c'est tout résolu donc tu peux retourner chez toi. Dit-elle.


- Mais je veux rester avec vous ici moi ! Je suis bien ici, ça fait si longtemps qu'on s'est pas vus ! J'ai dit assez contrariée.


- Non mais il faut mieux, et Ewen et Alexander t'accompagne ! Dit alors Oursa.


- Mais les filles qu'est-ce que vous me faites la ! Je me sens bien ici puis j'ai promis à un serveur de venir [url=x-apple-data-detectors://3]demain a 14h[/url] ! J'ai répondue.


- Bon bah Alexander t'accompagne la bas et tu reviens et vous repartez ! Allez hop ! Dit Eliane en me poussant à la porte."


Je me suis retrouvée poussée contre mon désir a devoir quitter les lieux. Alexander était à côté de moi. A vrai dire je n'avais pas l'air d'avoir le choix alors on est partit retrouver Franklin.


C'était assez silencieux. Le temps était calme et les rue abritais seulement deux ou trois marchands a la recherche de proies faciles. Nous n'étions pas de ceux la. Nous nous dépêchions, toujours en silence. jusqu'à ce qu'il prenne la parole.


"- C'était ton copain? Demanda-t-il.


- Oui, oui c'est ça, je t'en avais déjà parlée tu te souviens ? J'ai dis.


- Absolument pas. Bon c'est pas grave faut que je trouve de quoi dégager de chez toi, je veux pas déranger tu vois ? Dit-il.


- Oh, c'est dommage. J'ai dis la tristesse dans la voix."


Je voyais qu'il était triste aussi, et sûrement un peu vexé. Son regards fixé devant lui, un regard de fonceur, les sourcils froncés. Je me sentais un peu coupable, de l'abandonner comme ça. Surtout que quand j'étais seule il était le seul à compter. Et maintenant ça va être compliqué a gérer.. le voyage jusqu'à chez moi avec les deux gars. Les couchages dans ma chambres.. ou même le laisser tout seul quand je vais chez Ewen. Cette histoire risquait de me prendre un tantinet la tête. 


Le reste du chemin fut pesant, je choisissait mes mots et j'avais du mal a m'expliquer. Quoi que, nous avons peu parlés. J'ai préférée me taire plutôt que de dire n'importe. Les silences que nous échangions était déjà assez éprouvants.


"- Bon bah on est bientôt arrivés. Dit-il."


Cette phrases me faisait réaliser qu'on avait vraiment plus rien a se raconter. C'était une plutôt triste nouvelle.


On as retrouvés Franklin, essuyant ses verres. On lui as expliqués et j'ai remarqué que Alexander me coupait tout le temps la parole en parlant plus fort. 


"- Bon, c'est fini maintenant, j'ai semi-hurlée, Je peux lui expliquer la situation sans qu'on me coupe non ? 


- Roh bah vas y je t'en pris ! Dit-il."


Il traîna les mains au comptoir et se retira dehors pour boire le verre de vin qu'il avait commandé. On pouvais l'observer de l'intérieur. Son verre a la main contemplant la ville, le regard usé et enragé.


Je du raconter la situation à Franklin, il ne souriait plus. Je lui promit de revenir puis nous parlions de tout et de rien. Je gardais l'œil sur Alexander assis dehors.


"- J'ai peur d'y retourner, j'ai dit, j'ai un peu peur de lui, et de moi. Je n'en peu plus de sa morosité. J'aimerais pouvoir le refaire sourire, j'aimerais le revoir sourire. 


- Tu sais ce n'est pas de ta faute, quitte le au plus tôt si tu veux mon avis, dis Franklin après avoir salué des clients qui passaient la porte.


- C'est ce que je compte faire. Mais il a pas de boulot ni rien, moi je comptait l'aider. 


- Trouve lui une maison, conseille lui un travail qui pourrait lui convenir.. Mais c'est le maximum que tu puisse faire pour lui, il faut le laisser ce débrouiller.


- Oui.. Tu as raison. Je me sens tellement impuissante.


- Écoute, Tu es avec un autre maintenant, voilà c'est comme ça, on en a tous essuyés des déceptions amoureuse. "


Je ne pensais pas qu'il soit amoureux de moi, mais vu la conversation que nous avions eue plus tôt, il devait être déçu. De se sentir un peu remplacé.


Je suis repartie dehors. Après avoir clamée qu'il faisait "frisquet ici" je me suis rassise. 


"- La maison du côté de la rue est à vendre. Je vais y aller. Dit-il.


- Oui c'est une bonne idée, comme ça on resteras proche. J'ai dis voulant le rassurer.


- Oui, Dit-il d'un ton peu convaincu, c'est ça. De toute façon je n'aurais pas pu rester indéfiniment. 


- Oui, acquiesçais-je."


Les veines des ses bras ressortait, détail que je n'avait jamais pris le temps de souligner. Je lui ais donné son pull, que j'avais sur moi. Il accepta bien vite. Et moi, j'avais froid. 


J'observais Alexander. Vent dans les cheveux, regards au loin. Et me rappelais de tous ce qui s'était passé bien trop vite. 


Il aimait donner des noms à mes plantes, me parler d'histoire extraordinaire, de pensées absurdes qui lui venait souvent, manger mes restes de riz, me pousser à m'attacher les cheveux, me regarder fixement pendant plus de sept secondes, toucher mes mains pour voir les qu'elles étaient les plus froide; les miennes ou les siennes,  danser a des moments inopportuns, m'écrire des mots doux sur le creux de la mains, réciter un poème tout les matin, dire qu'il est heureux plus que la veille, toucher mes cheveux qu'il trouvait doux, chiper mon cousins, ronfler, essuyer ses lunettes, se demander à quoi je ressemblerais avec une barbe, se frotter les yeux, serrer la main très fort.


Au contraire il détestait, les prétentieux, l'odeur du brûlé, quand je plaquait mes mains trop froides sur son visage, les romans avec du suspens, quand je me rongeais le bout des doigt, quand les gens crient, quand les gens poussent ou sont impolis, être enfermé, ses maux de têtes récurrents, les hommes qui portaient des colliers, les pantalons serrés, la neige, l'idée que les gens se font de lui en général, les longues marchés qui lui faisaient mal aux pieds, les chiens, les insectes et spécialement les papillons qui moi me fascinait, le visage bouffi qu'on avait tous les jours au réveil.


"- Ah! Saleté ! Clama-t-il, je déteste les tables mouillés par la rosé."


J'ai ricanée, aurais-t-il aussi des talents de voyance. Je me suis rapprochée de lui. J'avais pris un stylo discrètement dans mon sac. Et pris sa main et écrit, "Tout est doux". J'ai hésitée à écrire " même la rosé " mais ça aurait sûrement été mal venu. Il m'a regardé et m'a dis :


"- Eh c'est moi qui fait ça normalement ! Attends donne moi ce stylo, Repris-il violemment."


C'est ici que je vis un cœur sur la main :


"- Je plaisantais évidement, dit-il calmement, Repasse dessus tout le matin sinon il s'échapperas ! 


- Attends voir tu as quelque choses sur le visage, j'ai dit en rapprochant les mains de son visage."


J'ai déposée mes mains froides sur ces joues.


"- Ha ! Mais arête ! dit il. "


Oui il m'a regardé d'un regarde serein et rassurés, je ne veux pas que ça change, c'est ce que je lui ais dis du regard. Et il compris j'en suis certaine. 


C'était pas du bidon, tout étais vrai, je le jure sur tout, sur tout !

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Message par Caliawen Mer 28 Sep 2016 - 17:09

Nous sommes rentrés bien plus joyeux que nous étions venus. On se tenait par le petit doigt c'était mignon. Je nous comparais à deux belettes fort sympathique. deux bout en train un ou ringard qui bondissait presque. Voilà ça c'est nous. c'est tout, c'est bien, c'est beau, c'est doux.

" Oh mon cher, ça fait quelques temps que je te cherche, il fallait juste t'attendre, mr.Bonheur ! Que faisait tu pendant se temps, avait tu du mal à lacer tes souliers, a tu pris un bain de plusieurs jours ?"

Nous avons alors pris la route, tout les trois. Moi et Alexander lisions et Ewen dessinait. J'avais le vent dans les cheveux, mes lunettes sur le nez mais j'étais loin d'apprécier la lecture. Je lisait sans vraiment lire. Je posait juste le regards sur ces mots. Je réfléchissait surtout. Je me demander pourquoi on m'avait fait venir à Lascens? Pour Ewen ? Pas pour l'enquête en tout cas. Mais je m'en souciais peu, j'avais beaucoup d'économie et j'aurais pus survivre encore quelques saisons sans travailler. J'ai relevée les yeux vert le ciel à travers la fenêtre en lâchant mon livre.

"- Non ne bouge pas ! Dis Ewen."

Je savais ce qu'il faisait alors j'ai remis ma tête droite. Ewen aimait me dessiner, et les gens en général. Il aimait dessiner mes yeux. Il aimait mes yeux en général. Il disait qu'on pouvait lire ma vie en les regardants. Mais dans lui mentir je lui faisait réaliser qu'il avait cette impression car lui la connaissait entièrement.

Je le regardais peindre. Sa main tremblait, il se concentrait pour rester précis. Il me poussait pour ne pas que je puisse regarder. Je pense que tout les artiste son comme ça " Je ne veux pas que tu regarde tant que je n'ai pas finit !" disait il.

J'ai continuée à regarder par la fenêtre. Le trajet allais plutôt vite.

"Tu es fatiguée ? Demanda Ewen.

- Oui, j'ai répondue, un peu.

-Ah... Dis Alexander."

Je me suis retournée et j'ai lancé un regard interrogateur. Il me fit signe que ce n'était rien. Je ne comprenais pas bien mais je pensais savoir. Ewen aurait sûrement voulu passer une nuit torride avec moi. Mais je ne comprenais la réaction d'Alexander.

L'ambiance était plutôt tranquille et la brise dans mon visage me faisait piquer du nez.

J'ai ouvert les yeux quand on appela mon nom :

"- Caliawen on est arrivés ! Réveille toi ! Disait ensemble les deux hommes.

- Ah.. désolée, je me suis endormie ?

- Pour t'endormir tu t'es endormie ! Dit Alexander.

- C'est que tu as un peu ronflé ! Répondit Ewen en rigolant."

J'étais un peu gênée et vexée mais ça me faisait rire. Je suis rentrée puis j'ai posée mon sac par terre. Je me suis attablée avec un verre d'eau. Puis je me suis approchée du canapé pour m'y allonger.

"- Dis tu vas pas dans ta chambre ? Demanda Ewen.

- Non je suis bien la, j'ai répondue.

- Mais pour poser ton sac ? Demande-t-il.

- Oh je le ferait après, tu veux pas le faire ? Je pense que je vais m'endormir.

- Mais réveil toi ! Cria Alexander. Il est tôt, mademoiselle petite nature.

Aie ! je me suis écrié. "

Un violon était caché derrière mon canapé, j'ignorais que Chester faisait de la musique. J'ai trouvée ça plutôt cool. Puis je me suis remise à pioncer.

quelques secondes plus tard j'ai entendue un milliers de petits susurrement venant des escaliers, qui eux aussi faisait du bruit.

Je me suis retournée, et dans le tourbillons des images qui se reflétait dans mes yeux. Je vis Athenaïs. C'est une vieille amie. Puis ma vision s'est clarifiée. Athenaïs devant moi un peu gênée, les jambes croisées :

"- Euh.. je suis désolée, on as un peu ratés notre coup. "

Je me suis relevée, me suis frottée les yeux et repris place dans ma petite réalité.

"- De quoi tu parle ? J'ai demandée.

- Euh.. regarde derrière toi.. hihi."

Derrière moi se tenait, souriante, la foule, ces gens que j'aimais le plus. Ceux à qui j'aurais offert mon cœur sur un plateau. Ils y étaient tous. j'ai été surprise et mon cœur s'est arrêté. Les larmes sont montés. Et tous se précipitèrent vers moi. Jamais je n'avais souris de cette façon.

Caliawen

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